Marché de Noël au château de Brissac le 18 novembre 2017
Regroupement à la maison de pays où nous prendrons une boisson chaude et un croissant pour tenir le coup !
Un grand merci au restaurateur qui nous a accueillis.
Face à la maison de pays : Ce moulin-cavier dit de type angevin dont l'origine remonte au XVIIIe siècle, propose des expositions qui permettent de comprendre son fonctionnement, son histoire féconde, ainsi que les diverses étapes de sa restauration.
Quels sont les courageux qui ont pris leur voiture ancienne ?
Les "voitures d'hiver" sont de sortie (Z4 coupé au premier plan)
Bleu, blanc rouge. Sans faire exprès.
Source wikipédia : La Renault Avantime (pas un advantime - désolé Laurent) est une automobile produite par Matra pour le compte du constructeur Renault, entre 2001 et 2003. Comme le Renault Espace, le concept a été proposé par Matra qui en a assuré le développement. Le centre de design Renault, et notamment Thierry Métroz, a participé au design du véhicule. La commercialisation et la maintenance ont été assurés par le réseau Renault.
Précocement abandonné par Renault, seuls 8 557 exemplaires de ce modèle ont été produits.
Comme quoi c'est un véhicule rare, futur collector.
Le programme.
Du monde, du monde, beaucoup de monde au château de Brissac !
Source internet :
Charles-André de Brissac, descendant en ligne directe de René de Cossé-Brissac, est aujourd’hui l’héritier de ce magnifique château et de son domaine. A vingt-six ans, après des études commerciales, dont il dit lui-même en souriant, qu’une formation de jardinier ou de plombier lui eut été plus utile, il prit la décision de se consacrer à ce bien familial.
http://www.chateau-brissac.fr/visite-virtuelle/
Un accueil souriant. par Raiponce, bien connue des petites filles.
Au loin et à droite, serait ce le père noël qui se promène incognito ?
Je ne l'avais pas reconnu, quelle honte !
(des nouveaux adhérents de nouaillé)
Enfin le père noël avec une vraie barbe !
Nous avons passé une belle journée car nous en avons pris plein les yeux et surtout, nous avons vu le vrai père Noël. Je pense que nous reviendrons à Brissac-Quincé pour visiter le château qui est vraiment superbe. Un seul regret, pas assez de décorations de noël à vendre mais beaucoup de bijoux, nourriture et vaisselle....
Distance parcourue de Nouaillé : 275 kms et retour dans le brouillard jusqu'à Loudun. Nous n'avons pas attendu la prestation de la chorale à 19 heures. Dommage !
37 personnes ont participé à cette sortie dont 5 enfants.
Didier.
Un peu d'histoire !
Source wikipédia :
C'est à l'origine un château-fort construit par Foulques Nerra, comte d'Anjou, au XIe siècle. Après la défaite des Anglais par Philippe Auguste, celui-ci le cède à Guillaume des Roches.
Le château est acquis en 1435 et reconstruit en 1455 par Pierre de Brézé, un riche ministre de Charles VII. À la mort de celui-ci, survenue à la bataille de Montlhéry en sauvant le roi, c'est son fils, Jacques, qui en hérite et s'installe au château. Il s'y installe avec sa femme Charlotte de Valois (fille de Charles VII et d'Agnès Sorel). Lorsque Jacques découvre que sa femme a une liaison avec son ami Pierre de Lavergne, il la transperce avec son épée le 1er mars 1462 (Date et lieu différent sur la fiche de Charlotte de Valois ! ) ; aujourd'hui une légende prétend qu'elle apparaît sous la forme d'une dame blanche les nuits d'orage.
Pendant le règne de François Ier (1515 à 1547), la propriété est achetée en 1502 par René de Cossé que le roi nomme gouverneur du Maine et de l'Anjou. Le château entre ainsi dans la famille des Cossé qui adopte alors le nom de Brissac.
Pendant les guerres de religion, Charles de Cossé (petit-fils de René) prend le parti de la Ligue, et le château est assiégé par le roi Henri IV. Après son ralliement au roi en 1594, il retrouve son château gravement endommagé en 1606, et obtient le titre de maréchal de France, ainsi que celui de duc de Brissac en 1611. La forteresse étant tout près d'être démolie, elle est reconstruite sous la conduite de l'architecte Jacques Corbineau qui en fait un édifice grandiose. À cette époque le duc de Brissac prend pour secrétaire particulier le gentilhomme Goddes de Varennes, marquis de la Perrière. Le 13 août 1620 une première entrevue de conciliation a lieu à Brissac en « terrain neutre » entre Louis XIII et sa mère Marie de Médicis, la réconciliation solennelle ayant lieu au bout de trois jours de festivités et de plusieurs entretiens privés2.
Les Cossé-Brissac conservent le château jusqu'en 1792. Lors de la Révolution, il est réquisitionné et transformé en cantonnement pour les « Bleus » de Vendée. Mis à sac par les révolutionnaires, il reste dans cet état jusqu'en 1844, où un programme de restauration est entrepris et poursuivi par les Cossé-Brissac, à qui le château est restitué après la Révolution, et dont les membres s'y sont succédé depuis.
En 1890 est inauguré son théâtre, créé sur deux étages par sa propriétaire, née Jeanne-Marie Say (1848-1916), petite-fille du célèbre raffineur de sucre Louis Say, veuve en premières noces de Roland de Cossé, marquis de Brissac en 1871, puis vicomtesse de Trédern. Ce théâtre est restauré vers 1983.
Le duc de Brissac ayant proposé son château pour abriter des œuvres d'art, il reçoit en 1939-1940 le mobilier de Versailles — gardé sur place jusqu'en 1946 par l'épouse de Gaston Brière, son ancien conservateur — des œuvres des musées Gustave Moreau, Nissim de Camondo, Arts Décoratifs, de Châlons sur-Marne, des palais de l'Élysée et du Sénat, de la Comédie Française, de la légation Suisse, des ambassades d'Argentine et de Grande-Bretagne et parmi 65 collections privées celles d'André Lhote, Maurice Denis, Paul Valéry et le trésor de la cathédrale d'Angers.
Corinne Bouchoux cite un rapport de Brière sur l'irruption de cinq soldats allemands au château en août 1944, qui y tuèrent le gardien J.-B. Faucher3.
Il est évoqué dans les souvenirs de Simon Charles Timoléon Pierre de Cossé (1900-1993), duc de Brissac en 1944 : En d'autres temps (1900-1939), La suite des temps (1939-1958), Le temps qui court (1959-1974) et Le Château d'en face (1974-1985) (B. Grasset et Fasquelle).
En 1960 le photographe Pierre Jahan réalisa pour la revue Plaisir de France plusieurs clichés du château; il publia celui montrant un cavalier cuirassé dans la salle d'armes (Objectif - Marval, 1994, p 93) où René Briat qui l'accompagnait revêtit un heaume que son compère ferma malencontreusement d'un coup de pouce... et dont il ne put extraire sa tête qu'avec l'aide de l'intendant du duc, absent ce jour-là.
En 1950, Jean Morin, alors préfet du département, a l'idée d'organiser une représentation théâtrale au château. Ce spectacle monté par René Rabault inaugure ce qui deviendra ensuite le festival d'Anjou4.