Journée du patrimoine le 17 septembre 2017
SORTIE CONJOINTE AVEC : La traction universelle, DDP et les calandres Poitevines.
Encore une journée humide et peu engageante à une sortie en véhicule ancien enclin à la rouille et aux glissades surtout pour les propulsions, sans oublier le freinage peu perfectible. Mais qu'à cela ne tienne, quand il faut y aller, il faut y aller ! une balade sur nos petites routes, boueuses, à destination d'un lieu sauvé de l'oubli et repensé ne se refuse pas surtout quand des gens sympathiques et détendus y participent. Je ne connaissais pas Marcay, pourtant si proche de Poitiers, et je ne m'attendais pas à découvrir un lieu d'une telle beauté. Je veux parler de la basilique St labre. Il fallait vraiment être passionné pour faire revivre cet édifice en ruine bien attaqué par la végétation. Un lieu à découvrir et à visiter ! Merci à Brigitte et Pierre de la TU, organisateurs, qui nous ont montré le chemin.
Un parapluie peu commun. Bientôt, comme nous sortons toujours sous la pluie, un "concours parapluie" sera organisé.
Pierre en toute transparence !Sortez vos parapluies !
Non ! seulement après changement de la batterie et réfection du moteur.
C'est quoi cette fumée docteur Jean-Marie ? Il a pour habitude de prendre la tension de nos voitures.
Et la basilique, avant la restauration, bien entendu.
Source Wikipédia :
Marçay possède une basilique, fruit du rêve de son curé, François Joseph Joanneau. Celui-ci, en poste à partir de 1856, rêve de faire de cette petite commune de la campagne proche de Poitiers un haut-lieu de pèlerinage. Il fit le projet de la construction d'un centre cultuel concurrençant ceux de Lourdes ou de Notre-Dame de Lorette.En 1884, la construction de la basilique dédiée à saint Benoît Joseph Labre, nouveau patron de la commune, commence. Sa décoration est achevée quinze ans plus tard. Les travaux s'arrêtent là, avec la mort du curé Joanneau. Les reliques du saint reposaient à l'intérieur de la basilique avant sa désacralisation et sa vente ; elles sont conservées maintenant dans l'église paroissiale. Ce lieu a fait l'objet d'un pèlerinage relativement important jusqu'en 1952. La basilique tombait doucement en ruines, mais son nouveau propriétaire a procédé à une réfection totale qui s'est achevée en 2017..
café, thé, chocolat, brioche toujours à l'abri.
Trois beaux vitraux historiés relatant la vie du Saint-Patron, Benoît-Joseph Labre, ont été commandés au XIXème siècle par l'abbé Joanneau auprès de l'atelier parisien des Lavergne, célèbres peintres verriers
Après avoir bu les paroles du propriétaire et restaurateur des lieux, intarrissable sur l'oeuvre de sa vie, nous avons pris la direction du château de la grange à Celles l'Evescault où nous avons déjeuné dans une ancienne écurie, bien à l'abri.
Quant au programme de l'après midi, il a été repensé, le temps n'étant pas propice à la visite d'un jardin. Après avoir tenté un arrêt à St Benoit faute de places de parking, nous avons terminé notre progression à Nouaillé-Maupertuis où nous avons visité les salles atypiques de la mairie et l'église abbatiale.
HORLOGE LUSSAULT : L’entreprise est née en 1865 à Marçay (Vienne) quand Gabriel Lussault, menuisier de son état, conçoit une première horloge qui sera suivie de beaucoup d’autres. En 1930, Joseph Lussault achète la fabrique d’horloges « Le Pellerin » à Tiffauges où il installe son entreprise.
Nous avons apprécié les oeuvres originales se rapportant aux livres. Le propétaire des lieux est un ancien libraire Parisien qui organisera diverses manifestions autour du livre.
Départ pour Celle-l' évescault.
Une belle TR3Mais où sont les champignons ?
Opération portes ouvertes malgré la pluie fine.
Un grand merci au propriétaire qui nous a accueillis.
Un moment tant attendu.
Jean-Paul, il n'y a rien à voir ! C'est au niveau de la batterie qu'il y a un problème.
Didier.